TV de rattrapage : Emissions sur le Corée (22 sept 2013)

Sélection de quelques reportages/émissions de TV autour de la Corée disponible en rattrapage sur la toile (22 septembre 2013).

TV

Bon visionnage !

Geopolitis – TSR – 15 sept. ’13
Réunification des Corées: possible? Souhaitable?

Source et vidéo http://www.rts.ch/emissions/geopolitis/5133728-reunification-des-corees-possible-souhaitable.html

Officiellement, les deux Corées sont toujours en guerre. Un conflit amorcé en 1950 qui s’est conclu par un armistice, signé en 1953, figeant jusqu’à aujourd’hui la ligne de démarcation entre les deux États.

Soixante ans de stalinisme pour le nord et de capitalisme pour le sud, à tel point qu’aujourd’hui il est devenu difficile de comparer ces deux pays. Sous la main de fer d’une dynastie de dictateurs, la Corée du Nord est le pays le plus fermé du monde et survit grâce à la perfusion de son seul allié chinois. La Corée du Sud, s’est quant à elle développée sur le modèle occidental et est devenue l’un des pays les plus prospères de la région.

Une réunification est-elle possible entre les deux Corées? Est-elle souhaitable? Que nous enseigne le modèle de la réunification allemande? Geopolitis décrypte les données de ce divorce entre les deux Corées et les perspectives de réconciliation.

L’invité: Samuel Guex, directeur du Master Asie à la faculté des lettres de l’Université de Genève.

===

L’Effet Papillon – Canal+ – 21 sept. ’13
Corée du Sud – L’émission qui n’aime pas les moches

Source et vidéo : http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid3356-c-effet-papillon.html?vid=938059

Reportage de l’Effet Papillon sur l’emission de TV sud-coréennes “Let Me In” – “Let 美人” diffusé sur une chaine câblé local. La “Chirurgie esthétique Academy” version sud coréenne

===

J’irai dormir chez vous en Corée sud – France5 – 21 sept. ’13
Rediffusion de l’émission d’octobre 2011

Source et vidéo : http://pluzz.francetv.fr/videos/j_irai_dormir_chez_vous.html (émission disponible en catchup YV jusqu’à samedi 28 sept. ’13 puis disponible en VOD)

“A peine débarqué en Corée du Sud, Antoine file à Gyeongju dans le sud du pays. Avec son curieux attirail, le globe-squatteur déambule dans les rues de cette ancienne capitale impériale. Comme il s’en doutait, il a beaucoup de mal à communiquer avec les habitants : en grande majorité, ils ne parlent que le coréen. Heureusement, au détour d’une rue il tombe sur Yu Jeong qui l’entraîne dans un café. Professeure de lettres à l’université, elle adore les écrivains et les poètes français, Mais elle ne l’invite pas chez elle…

Antoine se dirige ensuite sur Séoul, la capitale. Après avoir parcouru les quartiers animés la nuit, il arpente les faubourgs de la ville. Il y rencontre Hong, expulsé récemment des Etats Unis où il a vécu durant trente ans. Il survit tant bien que mal, en ramassant des vieux cartons. Il accueille Antoine dans sa petite chambre éclairée à la bougie puis l’invite à le suivre à une réunion d’étude de la bible. C’est la première fois qu’Antoine se retrouve à la soupe populaire.

null

Pour parcourir la campagne, Antoine loue une voiture. Comme dans la plupart des voitures coréennes, il y trouve un écran de télévision. Roulant au hasard, Antoine finit par aboutir dans un petit village, niché entre les montagnes. Il y rencontre Lee. Bien qu’ils n’arrivent pas à échanger deux mots, il passe la nuit chez lui.

Mais c’est sur la route du retour, dans une auberge perdue qu’il vivra l’expérience la plus forte. Une chose est sûre, Antoine ne supporte pas bien les mélanges…”

===

docu_france5

Asiatique de France – 1er partie : 1911-1975
France5 – 22 sept. ’13

Source et vidéo : http://pluzz.francetv.fr/videos/asiatiques_de_france.html (émission disponible en catchup jusqu’à Dimanche 29 sept. ’13)

Près d’un million d’Asiatiques vivent en France. Retour sur leur histoire, riche, qui traverse deux conflits mondiaux, le temps de la colonisation de l’Indochine puis celui de son indépendance et de l’évolution des Républiques Populaires d’Asie. Cette diaspora hétérogène cherche, à présent, à peser dans le débat public. Elle revendique une visibilité. L’installation des Vietnamiens, Cambodgiens, Laotiens ainsi que des Chinois en France date des réquisitions de main d’oeuvre pendant les Première et Seconde Guerres mondiales, en 1914-1918, puis en 1939-1940. La notoriété des Beaux-arts à Paris attire aussi toute une génération d’artistes et d’intellectuels japonais.

Image de la TV par *USB* http://flic.kr/p/8e5jd sous licence creative commons